Saviez-vous qu’on peut voyager dans le temps en allant à la piscine municipale de Schaerbeek, que la bureaucratie à rallonge n’est pas une invention allemande mais belge, que la meilleure manière d’occuper ses amis est de les faire attendre un technicien internet qui ne pointera jamais le bout de son nez et qu’à Bruxelles certaines personnes souffrent d’une maladie très rare nommée « champanius abundantia » ? Henry Spietweh, JP Bouzac et Jochen Bittner vous racontent comment ils ont fait ces étonnantes découvertes en vous livrant des histoires courtes et amusantes que vous lirez d’une traite sans jamais, au grand jamais, avoir envie de vous arrêter.
Henry Spietweh est né dans la région berlinoise à l'ère de la RDA et de Solidarność. Ses parents, farouches opposants au régime socialiste, s'employèrent à l'éloigner de l'influence des Jeunesses communistes en faisant, par exemple, constamment disparaître son foulard de pionnier. Enfant, Henry passa son temps libre au club de pêche ou avec ses grands-parents au camping de l'usine de plastiques de Köpenick, non loin de la ville de Kratzeburg nichée tout au nord de l'Allemagne, dans la région du Mecklembourg. Sa jeunesse dans la grande banlieue berlinoise se déroula sans grand incident. Après une première tentative infructueuse où il dépassa de plus de 20 km/h la vitesse autorisée dans une zone 30, Henry Spietweh obtint finalement son permis de conduire en 1999 et se mit au volant d'une Honda couleur mûre. Il étudia la gestion à Berlin et Bruxelles puis travailla dans la capitale allemande, à Cologne et Aix la Chapelle. Au service de grandes et petites entreprises allemandes, françaises ou américaines, il voyagea à travers le monde de Helmstedt à Hennepin Country en passant par Honolulu. Basé à Berlin, Henry Spietweh s'adonne aujourd'hui à sa passion pour la photographie et l'écriture.
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