Après 30 ans de schizophrénie, j'ai compris que mon seul ami au monde, c'est moi-même. Impossible de trouver un emploi à cause des sarcasmes. Dieu merci, je suis maintenant affranchi de la société. Honte à cette France antisociale.
Anthony Salaün a compris que rêver, c'est vivre. Et que les rêves sont gratuits. Son projet futur semblerait d'écrire une bande dessinée pour réunir les délires de ses rêves.
Il n'y a pour le moment pas de critique presse.