Depuis l'adolescence, la poésie m'a aidé à ressentir toutes ces émotions qui, aujourd'hui encore, sont mal ou peu exprimées et qui m'ont accompagnées tout au long de ma route... Grâce à la poésie, j'ai pu dire les mots qui me venaient du cœur et que je voulais confier à mes proches, notamment à ma fille et à mon fils qui nous a quitté, il y a 15 ans bientôt... Puissent mes mots trouver écho en vous et vous émouvoir autant qu'ils m'ont émus !
Guy Veyer, de son nom de plume Guy Raymondpierre est né en 1949 dans le nord de la France qu’il quitte en 1971 pour s’installer en Belgique où il y passe plus de quarante ans. Aujourd’hui, il coule une retraite heureuse dans un petit village de Corrèze.
Dès l’adolescence, Guy Raymondpierre a senti le besoin de s’exprimer ; cependant, d’une nature sensible, il lui était difficile de se confier. Alors, l’écriture devient son seul mode d’expression : il écrit de la poésie, des acrostiches, qu’il offrait à toutes occasions, des haïkus, des chansons et autres textes poétiques.
A l’heure de la retraite, il ressort ce qu’il appelle ses « gribouillis » de ses tiroirs pour les faire partager à un plus grand nombre.
Sa dernière marotte littéraire, ce sont les Haïkus, une forme poétique très codifiée qui nous vient du Japon ; il s’agit d’un poème visant à dire l’évanescence des choses et dont la brièveté (trois vers) force l’auteur à la précision, à la concision et à l’humilité.
Il crée également un site, extrêmement riche et complet (voir plus bas le lien), où l’on trouve un aperçu de ses écrits, de ses publications mais également de ses coups de coeur.
Il se définit lui-même comme un gratte-papier, un écrivaillon, un écrivain-poète autodidacte, chanteur à ses heures et philosophe dans le sens de « chercheur de sens ».
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