Selon les dictionnaires, les encyclopédies et en somme toute la littérature, la Renaissance se définit comme « un mouvement littéraire, artistique et scientifique qui eut lieu en Europe au XVe-XVIe siècle et qui était fondé sur l’imitation de l’Antiquité gréco-romaine ». Et si la Renaissance était non pas la période de redécouverte de la Culture Antique [gréco-romaine], mais en réalité l’époque de la fabrication de ces textes, classés plus tard comme antiques, et une « volonté caractérisée de falsification de l’Histoire ». Il est évident que l'engouement effréné des notables, des humanistes, des souverains et de l’Eglise pour les manuscrits antiques pendant ces périodes du Moyen-Âge et de la Renaissance est trop surprenant, voire étrange pour qu’il soit honnête ! L’écrivain anglais George Orwell [1903-1950] déclarait : « Qui contrôle le passé contrôle le présent, qui contrôle le présent contrôle l'avenir ». Quel est donc ce passé : l’Antiquité gréco-romaine ? Et qui sont ces « penseurs grecs » ? C’est ce que cet ouvrage entreprend de dévoiler.
L'auteur, de formation scientifique, a écrit des dizaines d'ouvrages dans les domaines des Sciences humaines Histoire, Sociologie, etc., de la Théologie, de la Biologie, etc. Ces écrits éclairent certaines zones d'ombres qui sont nombreuses et mettent en lumière une version différente de celle qui est communément admise. Enfin, l'auteur enrichit les champs des connaissances par l'innovation d'un ensemble de postulats, de concepts, d'idées et naugure une nouvelle approche de la Préhistoire, de l'Archéologie, de l'Anthropologie, de la Linguistique, etc. et ntroduit des notions nouvelles, des modèles originaux, des données inédites.
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