Cet essai a l’ambition de contribuer à la réflexion des pharmaciens et médecins généralistes dans leur relation avec leurs patients atteints de cancer. Il ne s’agit pas ici de délivrer une méthodologie duplicable, un processus relationnel immuable garantissant ou une performance ou un succès mais bien d’interroger la singularité d’une relation entre un soignant et un patient dans un temps et un espace finis.
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