Après la mort de Tarzan, Jane décide de retourner en Afrique, habitée d’un projet fou… Roman d’aventure saluant la mémoire d’Edgar Rice Burroughs, précurseur de l’heroic fantasy et créateur de Tarzan, roman psychologique traquant dans l’âme béante de son héroïne les éléments pathologiques pouvant justifier du surnaturel de certaines situations, quête initiatique ? Tout cela, indéniablement. Mais Jane ou la Cité Idéale, dans une tradition qui remonte bien au-delà de Thomas More, est avant tout une réflexion sur l’utopie. L’utopie, vous savez ? Cette fleur étrange qui réveille en sursaut des instincts enfouis, instincts qu’il vaut mieux, parfois, ne pas laisser germer car ils provoquent des coups de sang activistes chez les millions d’éternels rêveurs et inadaptés de la société moderne que nous sommes…
Parisien de naissance et de cœur, romancier, essayiste, peintre (co-fondateur du groupe VLP), l’auteur a décidé en 2005 de se mettre au vert et s’est installé dans les Landes où il enseigne l’Histoire et la Géographie. Sa réflexion critique concernant le monde tel qu’il va, comprenez tel qu’il va mal, l’a amené à élaborer au fil des ans, dans un style non dénué d’humour, une vision décalée, alternative et utopiste de la société. Jane est son deuxième roman après \"Portrait de groupe avant démolition\".
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