Je rentrais chez moi, il fallait que je prenne une douche pour m'assainir des ces eaux glauques. Une fois de plus j'étais sur le pont du Nouveau Monde. Dans un sens, le pont conduisait à la vie aliénée, celle du travail, des publireportages, le faux-monde ; dans l'autre sens, s'ouvrait la porte sur le Dokos dickien, l'Autre Monde, le monde d'Eléo, la beauté, la vraie vie, le temps aboli, la splendeur, les météores, les aventures, les rêves, les anges gardiens...
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