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Le Roman de Mélusine
Mère Lusine ou Mélusine dans la littérature et les traditions populaires & étude critique et bibliographique sur mélusine par Léo Desaivre suivis du texte original de Jehan d'Arras (1392)
Tome 10 sur 10 de cette collection
Couverture souple
564 pages
ISBN: 9791091786553
Éditeur : EDITIONS, CPA
Date de parution : 15.09.2020
Langue: français
Impression couleurs: non
20,00 €
TVA incluse / Envoi en sus
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En savoir plusParce qu'elle a péché dans sa jeunesse, Mélusine est condamnée par sa mère à voir le bas de son corps transformé en serpent tous les samedis. Si elle trouve un homme qui l'aime assez pour l'épouser et accepter de ne jamais la voir ces jours-là, elle sera délivrée de la malédiction. Hélas, son bien-aimé Raimondin trahit un jour la promesse qu'il lui a faite...
Le château de Lusignan fut démoli en 1575, après avoir soutenu un long siège contre les troupes du duc de Montpensier. A cette époque, une fontaine consacrée à Mélusine coulait encore dans l'enceinte de l'une des tours; c'est à cette modeste source que la fée poitevine a dû son illustre destinée.
Le culte des fontaines fut cher à nos aïeux, leurs fées gauloises étaient soeurs des nymphes de la Grèce et de Rome. Les compagnons de Lucinius (nom du chef qui vint fonder Lusignan lors des grandes invasions) purent donc prendre pour génie tutélaire de la nouvelle ville une divinité autochtone que le peuple vaincu honorait déjà de ses offrandes; restait à lui trouver un nom : la nouvelle Egerie devint "mater Lucinia", la Mère Lusine.
Le mythe en était là sans doute quand les barbares envahirent la Gaule romaine. Ils acceptèrent sans peine une divinité très voisine des leurs et ne tardèrent pas à la gratifier de quelques uns des attributs des dieux de la Gaule et de la Germanie.
C'est le portrait de cette Mélusine que nous vous proposons ici, avant de laisser la parole à celui qui la rendit définitivement immortelle, Jehan d'Arras, avec son "Roman de Mélusine" (1392) : l'histoire merveilleuse et tragique de l'union d'un mortel avec un être surnaturel.
Le château de Lusignan fut démoli en 1575, après avoir soutenu un long siège contre les troupes du duc de Montpensier. A cette époque, une fontaine consacrée à Mélusine coulait encore dans l'enceinte de l'une des tours; c'est à cette modeste source que la fée poitevine a dû son illustre destinée.
Le culte des fontaines fut cher à nos aïeux, leurs fées gauloises étaient soeurs des nymphes de la Grèce et de Rome. Les compagnons de Lucinius (nom du chef qui vint fonder Lusignan lors des grandes invasions) purent donc prendre pour génie tutélaire de la nouvelle ville une divinité autochtone que le peuple vaincu honorait déjà de ses offrandes; restait à lui trouver un nom : la nouvelle Egerie devint "mater Lucinia", la Mère Lusine.
Le mythe en était là sans doute quand les barbares envahirent la Gaule romaine. Ils acceptèrent sans peine une divinité très voisine des leurs et ne tardèrent pas à la gratifier de quelques uns des attributs des dieux de la Gaule et de la Germanie.
C'est le portrait de cette Mélusine que nous vous proposons ici, avant de laisser la parole à celui qui la rendit définitivement immortelle, Jehan d'Arras, avec son "Roman de Mélusine" (1392) : l'histoire merveilleuse et tragique de l'union d'un mortel avec un être surnaturel.
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