Cet essai engagé s’interroge sur l’essor rapide et à portée mondiale des deux principaux réseaux sociaux sur internet, Facebook et Twitter. L’analyse porte sur les discours qu’ils instillent, verrouillant la critique, condamnant à la complaisance face à l’état de fait de leur existence. L’étude montre également les logiques libérales sous-jacentes qui en déterminent le succès et contribuent à la construction d’une société mondiale interconnectée au service du capitalisme informationnel. Enfin, un point est fait autour de l’éducation aux réseaux sociaux.
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