Ce livre atypique à la forme originale raconte la vie mouvementée et l'évolution de l'oeuvre d'un enfant peintre prodige à l'aide de 3 procédés qui s'entremêlent dans une sorte de "corde à trois brins": . des extraits d'articles de presse . des interviews . des monologues (ou soliloques, d'où le titre) Ce procédé permet à l'auteur d'aborder les préoccupations, les questionnements, les obsessions même que nous pouvons tous avoir.
Français d’origine espagnole, né en 1936 à Sidi-Bel-Abbès (Oranie), Raph SORIA, passionné d’écriture et de lecture, écrit depuis son adolescence. Après avoir fait des études de lettres à la faculté d’Alger, il a été successivement enseignant - de 1960 à 1965 -, directeur de Maison des Jeunes et de la Culture (Le Mans, Lyon Gerland, Martigues, Union Locale des MJC de Pau) - de 1965 à 1987 - puis délégué régional de la Fédération Française des MJC (Haute et Basse Normandie, Nord Pas de Calais ) - de 1987 à 1993. Il consacre une grande partie de son temps à sa passion depuis 1993, année où il obtient, à 57 ans, une préretraite. Auteur aux multiples facettes, il a écrit des poèmes, des nouvelles (dont un recueil est à paraître prochainement chez BoD), de longues nouvelles de science fiction, un roman, un récit sur le Sidi-Bel-Abbès de son enfance et de son adolescence, plusieurs pièces de théâtre en un acte dont l’une, « Les Rats », a été créée à Lyon par la Compagnie de la Mouche. « Mais les mots qu’au vent noir je sème » dont les poèmes, rarement rimés, sont d’une facture très contemporaine, est le premier ouvrage qu’il publie. D’autres sont à venir.
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