Jadis s'élevait dans le Grand Nord sibérien, une cité que sa richesse avait rendue légendaire. Le nom de Mangazeïa s'entendait dans tous les ports d'Europe ; ses sonorités exotiques signifiaient toutes les richesses de l'Asie centrale. Elle fut surnommée Mangazeïa la "bouillante d'or" par ceux qui la virent au sommet de sa gloire. Mais son opulence fut bien courte, et si la richesse de Mangazeïa a crée le mythe, la chute de cette Atlantide du Nord a entretenu la légende.
Avec Mangazeïa: légende du Nord, Alexandre Page raconte de façon poétique et mythique la chute de l'une des plus riches cités de jadis. Perdue aux confins du pays Nenets, dans les glaces sibériennes, elle connut des décennies de gloire avant de sombrer et de s'effacer des mémoires, son emplacement même s'oubliant avec les siècles. Sa redécouverte dans les années 30 du XXIe s. n'a pas encore levé tous les mystères de sa destruction aussi complète que soudaine.
Alexandre Page est né en 1989 à Clermont-Ferrand. Docteur en histoire de l'art, il poursuit aujourd'hui ses recherches sur l'estampe et la peinture du XIXe s. et a publié plusieurs ouvrages et articles sur le sujet.
Il est également auteur de fiction. Partir, c'est mourir un peu, son premier roman, est un des cinq ouvrages finalistes du prix du jury des Plumes francophones organisé par Amazon Kdp (2019). Il a publié depuis romans, recueils de nouvelles et poésie en autoédition et est également directeur de collection pour la maison d'édition Les Minime's d'Angers. Il collabore à diverses revues, notamment Tysol et l'e-media Cyrano.
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