Patrice Gicquel a perdu son père. Ce dernier était atypique : il était sourd.
Naît alors chez l'auteur, l'envie de découvrir ou de redécouvrir son passé.
TETE D'OR relate l'enfance de son père à la ferme familiale et à l'école avec les bonnes soeurs. A l'insouciance succèdent la peur et l'angoisse sous l'Occupation allemande... avant que la joie de la jeunesse ne reprenne ses droits. C'était ça, la France d'autrefois.
Il n'y a pour le moment pas de critique presse.