La famille, ce doux berceau de la vie tissé par les liens du sang… Gwendoline aurait-elle pu imaginer que sa main tendue vers l’amour des siens l’entrainerait dans les ténèbres d’une triste réalité, au point de sombrer dans la psychose jusqu'à ne plus différencier le bien du mal ?
La déchéance est-elle à la vie ce que l’amour est à la mort ?
Originaire de France, Gwendoline Dylengor grandi en banlieue Lyonnaise dans les années 80. En famille, le bonheur se trouvera grâce à sa mère qui l’élèvera seule avec son frère et sa sœur. A l'école ses phobies scolaires dont elle ne parlera jamais à personne, l'isoleront énormément et si elle ne fera pas grand chose en cours, la nuit elle lira son dictionnaire car elle aime les mots, ses livres d'école mais seulement ceux qui lui plaisent comme les maths, les sciences, la biologie, l'anglais, l’Égypte, les histoires anciennes et la poésie. Elle aime aussi la photographie, la peinture, la nature, la science quantique.
Un jour, il y a bien une quinzaine d'années, devant la télé, elle découvre Shining, abasourdie et fascinée par cette histoire, elle se passionnera pour l'écriture et l'imagination de Stephen King. Plus tard, elle découvrira aussi Maxime Chattam avec \"autres mondes\", qu'elle dévorera parmi les romans de tant d'autres auteurs plus talentueux les uns que les autres.
Sa décision d'écrire son propre roman sera prise pendant l'année 2013, suite à un cancer qui lui fera comprendre qu'elle n'est pas éternelle et grâce à ses enfants qui lui donnent la confiance en elle qu'elle n'a jamais eu pour se lancer.
Une mauvaise plaisanterie sera terminé en juin 2014 et restera deux ans au placard faute d'éditeurs.
Comme elle a décrété qu'elle ne commencerais pas son 2 ème roman avant que le premier ne soit édité, en 2016, elle n'a plus le choix, pour se faire, elle s'auto-édite.
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