Des analyses différentes de celles auxquelles il nous a accoutumés, sur la présidence qui tournerait au vinaigre pour ceux qu'on croirait protégés, à la suite d'un préambule sur une guerre qui n'offre de regard complaisant sur aucun de ses concitoyens, notre auteur semble rebelle. Dans un huit clos où s'entrechoque chez lui la masse d'informations qui deviendrait gangrène, il se débat dans ses conflits internes comme ceux externes à son pays, ne trouvant comme à son habitude que des pistes d'investigation qu'il ne sait ni ne veut vérifier tellement elles l'effraient. Dans ce livre, l'auteur s'interroge, prend parti, dénonce, hésite et conclut avec Brassens que "mourir pour des idées, d'accord, mais de mort (plus que) lente". Il ne laisse personne indifférent, poussant le lecteur à se questionner à son tour. Damien Siobud n'a cette fois pas le coeur à l'humour et souhaiterait qu'on s'alerte. Il fait le lien entre Neimad SIOBUD (de "Ce Qu'Elle Peut Voir") et Damien.
Damien Siobud n'a cette fois pas le coeur à l'humour et souhaiterait qu'on s'alerte. Il fait le lien entre Neimad SIOBUD (de "Ce Qu'Elle Peut Voir") et Damien.
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