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Cardamôme et Thé vert
Conditions de vie de femmes d'origine modeste au XIXe siècle et au début du XXe
Couverture dure
140 pages
ISBN: 9782322488032
Éditeur : Books on Demand
Date de parution : 25.10.2023
Langue: français
Impression couleurs: oui
Disponible en :
22,50 €
TVA incluse / Envoi en sus
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En savoir plusCardamôme, c'est le surnom qu'on a donné à Suzanne Dewatine dans sa jeunesse. Courageuse, elle a toujours tenté de réaliser ses rêves de liberté et d'indépendance. Mais pour une femme simple, née au XIXe siècle dans le Nord de la France et qui a débuté dans la vie comme marchande foraine, c'était loin d'être facile. Au lieu de pouvoir savourer une belle vie, Suzanne a dû subir revers après revers : grossesses non voulues, perte d'enfants en bas âge, suicide de son mari et autres catastrophes.
Ce qui l'a aidée à surmonter toutes ces difficultés, c'est sa forte constitution et sa volonté de fer. Mais aussi une grande solidarité entre femmes.
Dans Thé vert, Aurélie Ribon laisse à ses descendants, quelques jours avant sa mort, un message touchant. Comme sa mère, elle a été une fille dite illégitime. Originaires d'un petit village lorrain, sa grand-mère et sa mère avaient dû se rendre à Paris et effectuer de basses besognes pour gagner leur vie. Des grossesses dues à des abus sexuels étaient un corollaire normal de cette vie. Aurélie elle-même aurait presque subi le même sort, si le père de sa première fille, un ingénieur suisse, ne les avait pas fait venir de Paris à Moscou au milieu de la Première Guerre mondiale afin de l'épouser.
Ce qui l'a aidée à surmonter toutes ces difficultés, c'est sa forte constitution et sa volonté de fer. Mais aussi une grande solidarité entre femmes.
Dans Thé vert, Aurélie Ribon laisse à ses descendants, quelques jours avant sa mort, un message touchant. Comme sa mère, elle a été une fille dite illégitime. Originaires d'un petit village lorrain, sa grand-mère et sa mère avaient dû se rendre à Paris et effectuer de basses besognes pour gagner leur vie. Des grossesses dues à des abus sexuels étaient un corollaire normal de cette vie. Aurélie elle-même aurait presque subi le même sort, si le père de sa première fille, un ingénieur suisse, ne les avait pas fait venir de Paris à Moscou au milieu de la Première Guerre mondiale afin de l'épouser.
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